Depuis les forêts / ZONE / Sans titre (couloir)
2018 / 2016-2021 / 2020 - divers matériaux / crayon sur papier / fusain sur papier
sur la base d'un socle de 90x155cm (hauteurs entre 80 et 120cm) / 50x78cm / 80x110cm

Jezy Knez (avec Jérémy Knez)

Depuis les forêts
du 11 janvier au 26 février 2022
École d'Arts du Choletais, Cholet (49)
exposition personnelle

Nouvel accrochage des séries Depuis les forêts, ZONE et Sans titre (couloir) pour la galerie de l'École d'Arts du Choletais

+ texte d'Alexandrine Dhainaut à retrouver ICI

+ texte d'Olivier Schefer à retrouver ICI

Photographies : Guillaume Jezy

Depuis les forêts (Marches, Panorama et After earth)
2018 - divers matériaux (bois, terre, sable, carton, verre synthétique, aluminium, néons, billes en verre, acier)
sur la base d'un socle de 110x100x165cm

Jezy Knez (avec Jérémy Knez)

Contre Forme
du 4 juillet au 25 août 2019
l'Atelier, Nantes (44)
Commissariat : MPVite
Artistes : John Cornu, Gaël Darras, Manuia Faucon, Marie-Jeanne Hoffner, Ann Veronica Janssens, Claire-Jeanne Jézéquel, Jezy Knez, Alexis Judic, Lucie Le Bouder, Eva Nielsen, Pierre Pouillet et Eric Tabuchi

Texte de présentation de l'exposition par Romain Boulay :

L’architecture est fonctionnelle, elle abrite les corps. Abriter l’Art, c’est faire exposition. L’exposition Contre Forme* convoque l’architecture. Les artistes ne sont pas réunis ici pour évoquer un thème mais parce que cet art leur sert de vecteur, de pensée, de pure forme. L’architecture devient un matériau, un dispositif de langage, une urgence... Il ne s’agit en aucun cas d’être exhaustif, mais plutôt d’interroger des singularités. Définir nous laisserait dans l’impasse du mouvement qu’imprime la pensée.

Contre Forme tend ici à tordre l’architecture en neutralisant sa fonction première. Se perdre de la ruine romantique aux utopies poétiques. Déambuler de la matérialité à la figure de l’architecte. Errer de la dystopie à la réalité brute, concrète. Chercher son chemin dans ce qui nous habite tous. Là où nous nous abritons ...

*Le titre de l’exposition renvoi au terme contreforme (ou contre-forme) qui, en typographie est l’espace intérieur blanc de certaines lettres. Cet espace est généralement fermé, mais, par extension, on appelle aussi contre forme les espaces ouverts, marquant ainsi le plein et le vide pour créer la lettre. C’est l’espace qui définit en creux la forme restée ouverte.

Photographies : Philippe Piron

Depuis les forêts / ZONE
2018 / 2016-2021 - divers matériaux / crayon sur papier
sur la base d'une table de 75x100x165cm / 50x78cm

Jezy Knez (avec Jérémy Knez)

Depuis les forêts
du 20 septembre au 25 octobre 2018
Galerie Michel Journiac, Paris 14 (75)
exposition personnelle

Pour l’exposition « Depuis les forêts », JEZY KNEZ morcellent l’espace de la galerie Michel Journiac avec des univers sur table qui empruntent aux plans-reliefs leurs caractéristiques où des états formels à la limite de la rupture et de l’effondrement se succèdent. Puisant dans le vocabulaire des contestations politiques et s’attachant à des notions qu’ils relient à la science-fiction et aux récits d’anticipation, les formes qu’ils composent cristallisent des fictions ouvertes laissant place à un spectacle d’affrontements modélisés de différentes natures et origines supposées que les dessins de la série ZONE viennent alimenter. Ils les envisagent comme des éléments permettant de porter un regard omniscient sur des situations créées en tant que systèmes organisés.

Troublant les échelles entre objet, sculpture, architecture et environnement, ils élaborent des mondes aux paysages minimalisés, invitant à s’y projeter. De la mystérieuse terre noire des archéologues, à une formulation des mutations de la nature convenue par l’homme ou dans un réflexe d’autodéfense pouvant bouleverser l’équilibre environnant, différents systèmes autonomes s’additionnent jusqu’à créer un scénario d’ensemble fragmenté qui invite à anticiper un nouvel ordre encore inconnu régi par des forces déjà en présence.

+ texte d'Alexandrine Dhainaut à retrouver ICI

+ texte d'Olivier Schefer à retrouver ICI

Photographies : Marie Le Corre